Le scandale des vidéos compromettantes qui ont circulé récemment sur les réseaux sociaux en Guinée équatoriale a pris une tournure tragique, avec la mort d’une femme dont l’image avait été partagée en ligne. Selon des informations locales, la victime, qui a été vue dans ces enregistrements, s’est suicidée après la diffusion de ces vidéos. Son corps a été retrouvé à l’hôpital, recouvert d’un drap blanc, entouré par des proches en pleurs. Ce drame met en lumière les conséquences dévastatrices de ce scandale, qui ne cesse de secouer l’opinion publique.
En réponse à cet incident, les autorités équato-guinéennes ont ouvert une enquête pour retrouver les responsables de la fuite de ces vidéos. Bien que de tels scandales ne soient pas nouveaux dans le pays, celui-ci a provoqué une réaction particulièrement forte, tant sur le plan social que politique. Le gouvernement a rapidement pris des mesures, suspendant les fonctionnaires impliqués dans cette affaire.
Le vice-président a annoncé des sanctions strictes et un engagement à appliquer une politique de « tolérance zéro » contre de tels comportements dans les institutions publiques. Cette décision vise à restaurer la confiance dans l’administration, après des accusations de corruption et d’abus de pouvoir.
Au centre du scandale se trouve Baltasar Ebang Engonga, dit « Bello », un haut responsable du gouvernement déjà emprisonné pour corruption. Son implication dans cette affaire pourrait entraîner de nouvelles accusations à son encontre. Le gouvernement semble déterminé à prendre des mesures fortes pour rétablir l’ordre et prévenir de nouveaux abus.
Rédaction Kominotek News