Les écoles, les universités et les centres de formation en Haïti subissent de plein fouet les conséquences des attaques criminelles. Les pillages, les incendies et la destruction totale de ces lieux d’apprentissage sont malheureusement devenus monnaie courante. Bien que la transmission du savoir en Haïti ne soit pas complètement à l’arrêt, malgré le contexte de violence armée imposée par les groupes criminels, son avenir semble fragile et incertain, comme l’a analysé l’éducateur Patrice Dalencourt.
De nombreux centres de formation ont été contraints, du jour au lendemain, de quitter leurs locaux historiques, de se relocaliser ou de suspendre leurs activités. Les conséquences de cette violence sur le système éducatif sont multiples et profondes. Cependant, Patrice Dalencourt a souligné avec admiration « la résistance » et « la résilience » dont font preuve les acteurs de l’éducation, tant les enseignants que les étudiants, pour maintenir malgré tout un accès à la connaissance.
Cette situation précaire met en lumière les défis croissants auxquels est confronté le secteur éducatif en Haïti. Les attaques visant les institutions scolaires et universitaires ne touchent pas seulement les bâtiments, mais aussi l’esprit sameur et l’avenir des jeunes générations. Pour Patrice Dalencourt, il est essentiel de trouver des solutions durables pour protéger ces lieux de savoir et permettre aux Haïtiens de construire un avenir plus éclairé et plus stable.
Rédaction Kominotek NEWS