Le 17 octobre 2024, des gangs armés ont ouvert le feu à Solino dans toutes les directions. Cette tragédie a entraîné la mort d’une jeune fille de 18 ans, tuée d’une balle à la tête alors qu’elle se trouvait chez elle, paisiblement installée devant la télévision. Plusieurs autres personnes ont été blessées lors de cette fusillade, selon les témoignages des riverains.
Dans le même temps, des rafales d’armes automatiques ont retenti dans d’autres quartiers de la capitale, notamment à Pernier, soulignant l’ampleur de la violence qui règne à Port-au-Prince. Les gangs semblent avoir repris du service avec une intensité alarmante, mettant en péril la sécurité des habitants.
Les événements tragiques à Solino révèlent l’absence d’action des dirigeants haïtiens, qui semblent indifférents à la détresse des citoyens. Tandis que les gangs de la coalition « Viv Ansanm » intensifient leurs attaques, ils ont également été impliqués dans des incendies de maisons à Saint Michel et à Solino, amplifiant l’insécurité au sein de la communauté.
Alors que la population pleure la perte d’une jeune vie, la nécessité d’une réponse significative face à cette crise sécuritaire devient plus pressante que jamais.
Rédaction Kominotek News