Le premier ministre Ariel Henry a pris part au sommet de la CARICOM, s’est engagé à organiser des élections générales en Haïti d’ici la mi-2025. (Cela impliquerait qu’il passe le pouvoir en fevrier 2026).
Cet engagement intervient au milieu des défis persistants auxquels Haïti est confronté, notamment l’instabilité politique et la violence des groupes armés. Favorable au processus démocratique, cet engagement est considéré comme une étape cruciale vers la stabilisation du paysage politique en Haïti.
Dans le même esprit, le Premier ministre Ariel Henry s’est lancé dans une mission diplomatique au Kenya. Cette visite vise à remédier au retard dans le déploiement des troupes internationales pour soutenir la police nationale haïtienne dans la lutte contre les gangs armés. En outre, le Bénin s’est engagé à envoyer 2 000 soldats pour soutenir la force internationale dirigée par le Kenya et destinée à aider Haïti dans sa lutte contre les groupes armés.
L’implication des forces internationales et l’engagement en faveur du processus démocratique témoignent d’un effort uni pour apporter la stabilité et la sécurité en Haïti. Alors que le Premier ministre Ariel Henry s’engage dans des discussions diplomatiques avec les autorités Kenyanes et est témoin des promesses de soutien de pays comme le Bénin, l’attention de la communauté internationale sur les défis d’Haïti devient de plus en plus évidente. Le cheminement vers les élections de mi-2025 et le renforcement des mesures de sécurité reflète une détermination collective à apporter un changement positif dans le paysage politique haïtien.