Nouvelle offensive annoncée par le gang “Viv Ansanm” : la PNH affaiblie par des conflits internes
À la veille du 3 février, une date marquée par la menace d’une offensive annoncée par le groupe criminel « Viv Ansanm », la Police Nationale d’Haïti (PNH) traverse une crise interne alarmante. Selon une source policière, une division majeure paralyse l’institution, avec deux factions opposées : l’une dirigée par le Directeur Général Rameau Normil, et l’autre sous l’influence d’Alain Auguste, responsable de la Direction Centrale de la Police Administrative (DCPA).
Au lieu d’une coordination renforcée pour contrer les attaques prévues, ces rivalités internes sapent la capacité opérationnelle de la PNH, créant une situation critique. Alors que la capitale et plusieurs autres villes sont sous tension, la menace lancée par le groupe criminel Viv Ansanm, annonce une journée de violences et de troubles majeurs.
Au lieu de s’unir pour déraciner les attaques criminelles et rétablir l’ordre, les deux camps de la PNH se livrent une bataille de pouvoir en coulisses. Cette rivalité détourne leur attention de l’urgence sécuritaire, affaiblissant la coordination des opérations face à une menace grandissante. Pendant que les responsables s’affrontent, les gangs, eux, continuent de renforcer leur emprise.
Rédaction Kominotek News
