Le Roi Charles III accusé d’être impliqué dans un projet de destruction de Port-au-Prince
Dans une déclaration officielle, le sénateur dominicain José Yvan Silva, représentant de la province de La Romana, a affirmé lors d’une interview récente que la destruction de Port-au-Prince ferait partie d’un supposé projet du “Prince Charles”, attribué au roi Charles III du Royaume-Uni. Cette déclaration surprenante, relayée par un média dominicain, évoque l’existence d’un plan de reconstruction de la capitale haïtienne qui serait déjà en cours de préparation.
Le sénateur José Yvan Silva n’a pas hésité à pointer du doigt une trentaine de personnalités haïtiennes qu’il accuse d’être impliquées dans ce projet controversé. Parmi les noms cités figure celui de Gilbert Bigio, homme d’affaires influent en Haïti. Selon Silva, ces personnalités auraient un rôle clé dans la mise en œuvre de ce plan, bien que les détails de leurs actions présumées n’aient pas été révélés.
Dans son intervention, le sénateur Silva a également dénoncé son propre gouvernement, l’accusant de faciliter l’entrée en Haïti de plus de 70 % des armes et munitions qui circulent dans le pays. Ces déclarations soulèvent des questions sur l’implication de réseaux transfrontaliers et sur la responsabilité des autorités dominicaines dans l’aggravation de la crise sécuritaire en Haïti.
Ces accusations interviennent dans un contexte déjà tendu entre Haïti et la République dominicaine, marqué par des différends frontaliers et une instabilité grandissante en Haïti. Si les propos du sénateur Silva sont avérés, ils pourraient raviver les tensions diplomatiques entre les deux nations et susciter des interrogations sur les véritables motivations derrière cette supposée initiative de “destruction et reconstruction” de Port-au-Prince.
Ces déclarations explosives du sénateur José Yvan Silva jettent une lumière crue sur une éventuelle conspiration internationale et locale visant la destruction de Port-au-Prince, sous le couvert d’un supposé “projet Prince Charles”. Si elles sont avérées, l’implication présumée du roi Charles III, couplée à celle de plus de 33 figures influentes en Haïti, révèlerait une collaboration cynique entre des intérêts étrangers et des complices nationaux.
Haïti ne doit en aucun cas devenir un terrain de manœuvres où sa souveraineté est sacrifiée par ceux qui ont le devoir de la défendre.
Rédaction Kominotek News